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L’enfer est pavé de bonnes intentions : c’est le proverbe. Il s’applique bien à ce film qui met en vedette une cellule familiale plutôt désunie et affligée par le cancer de l’un et la bipolarité de l’autre. C’est surtout psychologique comme film bien qu’il contienne certains passages dramatiques. J’ai bien aimé y retrouver Javier Bardem dans le rôle principal, bien qu’il me rappelait constamment son rôle de tueur psychopathe dans le film « No country for old man ». C’est très espagnol comme milieu de vie ou de survie. Le scénario est basé sur l’habitude qu’ont les gens, qui sont en fin d’existence, de préparer leur mort en réglant toutes sortes de problèmes. Je l’ai trouvé un peu long cependant à cause de son atmosphère lourde.
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