L'idée des deux histoires en deux lieux et deux époques différentes se voulait intéressante s'il avait été clair au départ qu'il y avait un trait commun entre ces deux histoires. Or ce trait commun n'apparait pas subitement et très longtemps après le début de la projection, je me demandais encore à quoi rimait la vie de tous ces personnages. Le tout finit par s'emboîter au moment où le générique de la fin approche. Au moins Jean-Marc Vallée sait tourner, son talent de cinéaste ne fait pas de doute mais à l'instar de C. R. A. Z. Y., j'ai l'impression que dans Café de Flore, il a essayé de mettre trop d'accent sur les subtiblités plus que d'aller directement droit au but. J'ai été touché par les trames musicales de The Dark Side Of The Moon avec les images au ralenti, ainsi que la pièce de Sigur Ros (Svefn-G-Englar), dans son intégralité, ces éléments musicaux compensent pour un scénario fort complexe pour rien à mon avis.
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