Gros péché mortel: que la succession du groupe The Doors ait vendu les chansons de ces musiciens légendaires pour faire du fric et illustrer un tel ratage cinématographique suscite en moi le plus grand dégoût. Que dire de plus, sinon que ce film financé par la droite américaine s'applique à perpétuer le mythe moyen-âgeux du "démon" qui menace nos sociétés. Au moins William Friedkin avait pondu une grande oeuvre sur ce thème risible. Délivrez-nous des navets!
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