Le Mississippi, en 1963, semble soulever bien des passions chez les cinéphiles : rares sont les films qui reçoivent autant de critiques. Le problème de la ségrégation raciale aux États-Unis nous est présenté. C’est un film qui reste très féminin cependant, les hommes n’occupant pas beaucoup de place dans ce scénario. J’y ai reconnu Sisi Spacek qui fait de courtes apparitions. Avoir une domestique à la maison me semblait bien loin de notre façon de vivre au Québec, et il me semblait difficile de m’identifier à ces personnages d’il y a plus de 50 ans. L’insistance sur les bols de toilettes m’agaçait. La violence est suggérée plutôt que montrée, les propos aigres-doux la remplaçant chez ces femmes. C’est comme une autocritique de la société américaine qui ne nous ressemble pas.
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