Comment ne pas reconnaître la culture britannique dans ce film? Ce comte de Rochester étonne avec sa fixation sur le sexe dans toutes ses variantes. Il s’exprime en parlant avec une voix monotone, sans intonations. Ses abus d’alcool sont répétitifs et sa vie sera courte : c’est comme si le destin le punissait. Ce film est présenté d’une façon très théâtrale, une pièce de théâtre étant au centre de ce scénario. Je m’étonnais qu’au XVIIe siècle, la morale religieuse brillait par son absence en laissant la place à une société en pleine débauche : cette décadence était probablement bien loin de la réalité de cette époque. Entendre parler de godemiché, de pénis, de clitoris et de sodomie, pendant tout le film, m’ennuyait. L’atmosphère de ce film est assez lourde jusqu’à la fin : on aime ou on n’aime pas. Les costumes, décors et les éclairages à la chandelle s’ajoutent efficacement à cette histoire au contenu assez mince.
Un problème avec votre adresse de courriel nous empêche de communiquer avec vous. S.v.p., consultez Mon Compte pour corriger.
Veuillez choisir un nom d'utilisateur pour signer vos commentaires. Que des lettres, chiffres, trait d'union ou point. Minimum 4 caractères.
Votre âge et sexe :
Nous publions tous les commentaires, sauf abusifs, à notre discrétion.