Dans un film de guerre, peut-on se plaindre d’une surabondance de scènes de combats? Coups de baïonnettes, coups de feu et coups de canon se succèdent au point de devenir répétitifs. Les 2½ heures de ce film auraient peut-être gagné en étant réduites à 2 heures. Les effets spéciaux sont réussis et impressionnants : la moindre explosion (grenade, mine, obus) produit une flamme orangée de grande dimension. Le racisme est abondamment abordé (Blancs vs Indiens et Japonais). L’intolérance est amplifiée par la guerre, mais la morale de ce film est la tolérance raciale. Adam Beach a le rôle principal et c’est un comédien autochtone qui est fréquemment vu dans les téléséries canadiennes présentées sur le canal autochtone APTN. Si dans la bataille de l’Atlantique, le code allemand Enigma faisait courir le contre-espionnage, dans la guerre du Pacifique les communications radio des Américains étaient codées en langue Navajo pour ne pas être compréhensibles de l’ennemi japonais.
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